Fair Oriana
Sep
27

Fair Oriana

Basel·ReRenaissance celebrates the sun in its absence with “Fair Oriana” – English Madrigals for the Queen, a performance of The Triumphs of Oriana, printed in 1601 by Thomas Morley and directed by Elizabeth Rumsey.  

Ivo Haun -  Singing to the Treble Lute

Marc Lewon - The Cithern, & singing to a Meane Lute

Catherine Motuz - A soft Trombone, & singing in the Quire

Grace Newcombe - Singing to the Virginalls

Elizabeth Rumsey - Treble & Base vyalls, Mistress of Musick

Holly Scarborough - Flutes, & a well-tuned Drum

Tabea Schwartz - Sweet Flutes & the Bass Violl

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PLAY, MUSIC! Song’s from Shakespeare’s Stage
Oct
4

PLAY, MUSIC! Song’s from Shakespeare’s Stage

Shakespeare’s illustrious prose is inextricably linked with the music that was performed in his plays. The Bard frequently directed his characters to burst into song, cannily catering to the vast audiences who flocked to the Globe Theatre, expecting to enjoy the popular melodies of the day that were interwoven throughout the narrative. English novelist and biographer Peter Ackroyd remarked, “It can be argued that Shakespeare was the first dramatist to make song an integral part of the drama and can thus be seen as the begetter of the musical theatre.” 

Play, Music! features music from such memorable plays as All’s Well that Ends Well, As You Like It, Hamlet, Midsummer Night’s Dream, Taming of the Shrew, Twelfth Night, and more, penned by prominent 16th-century tunesmiths including John Dowland, King Henry VIII, Richard Tarleton, and Shakespeare himself. Theatro founder Brian Kay is the guest director for this performance.

Ashlee Foreman, vocals
Brian Kay, vocals & plucked strings
David McCormick, baroque violin
​Anna O’Connell, vocals & historical harp

Holly Scarborough, historical winds & percussion

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PLAY, MUSIC! Song’s from Shakespeare’s Stage
Oct
5

PLAY, MUSIC! Song’s from Shakespeare’s Stage

Shakespeare’s illustrious prose is inextricably linked with the music that was performed in his plays. The Bard frequently directed his characters to burst into song, cannily catering to the vast audiences who flocked to the Globe Theatre, expecting to enjoy the popular melodies of the day that were interwoven throughout the narrative. English novelist and biographer Peter Ackroyd remarked, “It can be argued that Shakespeare was the first dramatist to make song an integral part of the drama and can thus be seen as the begetter of the musical theatre.” 

Play, Music! features music from such memorable plays as All’s Well that Ends Well, As You Like It, Hamlet, Midsummer Night’s Dream, Taming of the Shrew, Twelfth Night, and more, penned by prominent 16th-century tunesmiths including John Dowland, King Henry VIII, Richard Tarleton, and Shakespeare himself. Theatro founder Brian Kay is the guest director for this performance.

Ashlee Foreman, vocals
Brian Kay, vocals & plucked strings
David McCormick, baroque violin
​Anna O’Connell, vocals & historical harp

Holly Scarborough, historical winds & percussion

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William Tell – Kids Concert
Nov
15

William Tell – Kids Concert

  • Werkstattkonzert 15. November 20GREIFENBERGER INSTITUT FÜR MUSIKINSTRUMENTENKUNDE (map)
  • Google Calendar ICS

Wilhelm Tell, der tapfere Held der Freiheit! Flöte, Trommel, Laute und Gesang erzählt die Sage, inklusiv die berühmte Szene, in der Tell mit der Armbrust auf einen Apfel über dem Kopf seines Sohnes zielt. Zudem werden Strophen aus einer der frühesten überlieferten Fassungen der Tell-Sage, dem Lied von der Entstehung der Eidgenossenschaft (1477), in eine gesungene Fassung übertragen. Zweigulden präsentiert die Sage von Wilhelm Tell – Held und Schurke, Vater und Sohn, Unterdrückung und Freiheit – in einer Weise, die Schillers Drama von 1804 und Rossinis Oper von 1829 vorausgeht, und gibt mit historischer Flöte, Laute und Trommel neue Einblicke in die Renaissance-Geschichte.

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Festival Voix & Route Romane
Aug
29

Festival Voix & Route Romane

La peste dansante

En juillet 1518, une femme se mit à danser avec ferveur dans une rue de Strasbourg pendant quatre à six jours. En une semaine, 34 autres personnes l’avaient rejointe, et, en un mois, elles furent aux alentours de 400.

Si une vingtaine d’épisodes comparables ont été rapportés entre 1200 et 1600, les documents historiques de l’époque, incluant des notes de médecins, des sermons de la cathédrale, des chroniques locales et régionales et même des billets émis par le conseil municipal de Strasbourg, font de cette épidémie l’une des mieux documentées de l’histoire.

Tandis que l’épidémie s’aggravait, les médecins rejetèrent les causes astrologiques et surnaturelles. Néanmoins, au lieu de prescrire des saignées comme il était d’usage, les autorités encouragèrent les danseurs en établissant un marché aux grains et en construisant une scène en bois. Ils pensaient en effet que les malades ne s’arrêteraient de danser que s’ils pouvaient le faire sans interruption jour et nuit jusqu’à épuisement. Pour améliorer l’efficacité du traitement, les autorités embauchèrent même des musiciens pour soutenir la danse.

L’ensemble bâlois Zweigulden évoque ce fameux épisode historique avec force musiques et danses de la Renaissance – une excursion certes inhabituelle pour “Voix et Route Romane”, mais ô combien locale et enivrante !

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Festival Voix & Route Romane
Aug
28

Festival Voix & Route Romane

La peste dansante

En juillet 1518, une femme se mit à danser avec ferveur dans une rue de Strasbourg pendant quatre à six jours. En une semaine, 34 autres personnes l’avaient rejointe, et, en un mois, elles furent aux alentours de 400.

Si une vingtaine d’épisodes comparables ont été rapportés entre 1200 et 1600, les documents historiques de l’époque, incluant des notes de médecins, des sermons de la cathédrale, des chroniques locales et régionales et même des billets émis par le conseil municipal de Strasbourg, font de cette épidémie l’une des mieux documentées de l’histoire.

Tandis que l’épidémie s’aggravait, les médecins rejetèrent les causes astrologiques et surnaturelles. Néanmoins, au lieu de prescrire des saignées comme il était d’usage, les autorités encouragèrent les danseurs en établissant un marché aux grains et en construisant une scène en bois. Ils pensaient en effet que les malades ne s’arrêteraient de danser que s’ils pouvaient le faire sans interruption jour et nuit jusqu’à épuisement. Pour améliorer l’efficacité du traitement, les autorités embauchèrent même des musiciens pour soutenir la danse.

L’ensemble bâlois Zweigulden évoque ce fameux épisode historique avec force musiques et danses de la Renaissance – une excursion certes inhabituelle pour “Voix et Route Romane”, mais ô combien locale et enivrante !

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